Documents pour «prétendants»

Un train vient de dérailler. Sisif, un chef-mécanicien, découvre pendant l'accident une fillette qui lui tend les bras. Il décide de ramener la jeune orpheline chez lui. Les années passent. Sisif a adopté la petite Norma ; Elie, son fils et celle-ci grandissent comme frère et sœur. Mais Sisif s'assombrit, devient brutal, et souffre de voir les prétendants rôder autour de Norma...

Un train vient de dérailler. Sisif, un chef-mécanicien, découvre pendant l'accident une fillette qui lui tend les bras. Il décide de ramener la jeune orpheline chez lui. Les années passent. Sisif a adopté la petite Norma ; Elie, son fils et celle-ci grandissent comme frère et sœur. Mais Sisif s'assombrit, devient brutal, et souffre de voir les prétendants rôder autour de Norma...

Un train vient de dérailler. Sisif, un chef-mécanicien, découvre pendant l'accident une fillette qui lui tend les bras. Il décide de ramener la jeune orpheline chez lui. Les années passent. Sisif a adopté la petite Norma ; Elie, son fils et celle-ci grandissent comme frère et sœur. Mais Sisif s'assombrit, devient brutal, et souffre de voir les prétendants rôder autour de Norma...

Un train vient de dérailler. Sisif, un chef-mécanicien, découvre pendant l'accident une fillette qui lui tend les bras. Il décide de ramener la jeune orpheline chez lui. Les années passent. Sisif a adopté la petite Norma ; Elie, son fils et celle-ci grandissent comme frère et sœur. Mais Sisif s'assombrit, devient brutal, et souffre de voir les prétendants rôder autour de Norma...

Kenna est une jeune et belle photographe. C'est aussi une dragueuse invétérée. Alors qu'elle vient d'inaugurer l'expo de sa vie, la voilà convoitée par deux hommes que tout oppose : Jeff, le dj à fleur de peau, et Martin, le businessman affairé. Jusqu'où iront-ils pour la séduire ?

Le Paradis, lieu de plaisir suprême, abrite une troupe de saltimbanques haute en couleur. Au Théâtre du Funambule, l’ambiance se veut bon enfant : clowns, lions et pantomimes cohabitent joyeusement. La si jolie Garance au doux nom de fleur attire tous les regards et notamment l’attention de quatre prétendants : Frédéric, l’acteur égocentrique et fougueux ; Baptiste, le gentil mime ; Pierre-François, le voyou dandy et le comte Édouard de Montray, illustre sportif snob. "Les enfants du Paradis" reste le film le plus plébiscité par le public et les cinéphiles. Pourtant, il faut considérer que c'est avant tout un texte de Jacques Prévert d'une beauté, d'une fulgurance et d'une force qui lui permet de s'affranchir de toute image cinématographique. Personnages emblématiques, dialogues à la fois savoureux et incisifs portés par quatre comédiens. Une adaptation originale de cette oeuvre gigantesque.

Pénélope, figure légendaire de l'Odyssée, enfin révélée par les évocations successives de sa vie, depuis son premier cri jusqu'au retour d'Ulysse, en passant par l'âge ingrat, l'amour, la maternité, l'attente et la résistance aux prétendants. Une comédie où l'irrévérence le dispute à l'émotion et le rire aux larmes...

Eloigné de son île natale durant vingt ans, il faut à Ulysse, reprenant enfin pied à Ithaque, retrouver son origine, récupérer son identité perdue ; il lui faut tout faire pour être "reconnu" des siens, retisser le lien qui l'attache à son royaume, être de nouveau une personne et non plus Personne. Mais il ne peut parvenir à cette fidélité à soi - cette renaissance à soi-même - qu'au prix d'un massacre. Celui des "prétendants" : ces jeunes gens sans vergogne qui, le croyant mort, se pressent dans son palais en dévorant ses vivres, et qui prétendent le supplanter auprès de la reine Pénélope. Ce massacre, Homère nous le donne à voir avec un réalisme tranquille. Il y a comme une candeur dans sa façon de raconter la mort des prétendants. Le tragique est ainsi, comme allant de soi, tranquillement installé dans la vie des héros homériques. Loin de tout pathos, Homère décrit avec une simplicité qu'on pourrait dire enfantine (comme on parle de l'enfance de l'art) ce qui fait notre condition humaine : la demande de reconnaissance, l'angoisse de la solitude, la peur de l'abandon, l'attachement aux siens, la jalousie, le désir de vengeance et de meurtre, le vieillissement et la mort...

Magdelon et Cathos, influencées par les salons précieux, rejettent leurs prétendants, La Grange et Du Croisy, pour le faux marquis de Mascarille et le faux Vicomte de Jodelet. Dans une mise en scène rythmée et musicale qui rend au texte toute son actualité, ce spectacle est revu dans la tendance d'aujourd'hui : version rock. Tout au long de la pièce la présence du guitariste accompagne les comédiens vers une explosion délirante de cette écriture.