Elles étaient une vision fugace dans la nuit. On m’a dit que l’une d'entre elles était venue à pied de Gaza à Tel-Aviv. Dans ma tête je l'ai appelée La Belle de Gaza.
Une enquête prétexte à une galerie de portraits nocturnes et sensibles, éclairant les existences transgenres en Israël et Palestine. Libération
Ce partage d’intimité fait la beauté et la force d’un documentaire d’une fulgurante humanité. Un film flamboyant, réalisé avant le 7 octobre 2023, mais qui, à sa manière, traite de bout en bout de passages de frontières. Télérama
Yolande Zauberman avec sa caméra n’est pas une intruse qui viendrait puiser le temps d’une immersion quelques sensations. Tout fait corps à l’image. L’échange se matérialise par la grâce d’une mise en scène proche des êtres d’où émerge une beauté tragique. Puissant. Première
La cinéaste, qui tient la caméra et filme à distance, éclaire la nuit, faisant jaillir de l’obscurité, comme des flashs, ces corps dénudés, héroïques, exposés au danger. Le Monde
Un film fort au cours duquel la réalisatrice parvient, malgré les conditions difficiles de tournage, à faire du vrai et beau cinéma. Le Parisien
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