Dans le légendaire Bois de Boulogne, Samantha, Isidro, Geneviève et les autres font le plus vieux métier du monde.
Entre confidences, humour et dignité, ils et elles nous emmènent au coeur du Bois…
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IndieLisboa - Festival international du cinéma indépendant de Lisbonne : Prix du public
Chéries-Chéris - Festival LGBT de Paris : Sélection
Champs-Élysées Film Festival : Meilleur long-métrage français
FIPADOC - Festival International Documentaire : Grand Prix Documentaire national
Le réalisateur a réussi à recueillir, avec bonne distance et humour, les confidences des prostitué(e)s. Ouest France
À rebours des reportages souvent racoleurs, Claus Drexel signe un documentaire empathique, juste et esthétiquement superbe, donnant à son décor des allures de forêt enchantée sans que ce parti pris soit indécent. Le Journal du Dimanche
Un film frontal, qui estompe tout jugement et respecte superbement la parole recueillie. Le Nouvel Observateur
Avec respect et un sens éblouissant de la mise en image, C. Drexel amène ses sujets à se confier, entre humour et sentiments, muant leur espace en décor de lumière. Les Fiches du Cinéma
Au cœur du bois a alors quelque chose du conte, avec ses illustres légendes et ses belles sorcières, gardiennes d’un temple fragile. Les Inrockuptibles
Le documentaire de Claude Drexel fait du bois de Boulogne un studio à ciel ouvert en donnant la parole aux travailleuses du sexe. Les témoignages, qui oscillent entre solitude et destin commun, soulignent une ostracisation à tous les niveaux. Libération
Il en résulte une galerie de portraits inattendus, parfois drôles ou bouleversants, échappant au voyeurisme comme au misérabilisme. Positif
Ce film profondément humain fait sortir de belles figures du bois. Télérama
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