Avocat célèbre, Luc Germon pense atteindre la consécration lorsque Gilles Fontaine, l'un des patrons les plus puissants de France, lui demande de prendre sa défense. L’homme d’affaires est soupçonné d'avoir acquis dans des conditions douteuses une magnifique propriété sur la Côte d'Azur, la Villa Caprice. Humilié et furieux de s'être laissé piéger, Fontaine compte sur l'habileté de Germon pour le tirer de ce mauvais pas. Mais une étrange relation de pouvoir s'installe bientôt entre les deux hommes, en principe alliés. Qui prendra l'avantage ?
Des dialogues subtils, un écheveau de manipulations et cinq comédiens d’une merveilleuse précision, au service d’un film comme autrefois. Ringard ? En rien. Le pessimisme final de Stora, radical et éclatant, laisse pantois. Positif
Niels Arestrup, dans le rôle de l’avocat, est génial. Le Nouvel Observateur
Un duel d’acteurs au sommet, entre un Patrick Bruel impeccable en homme d’affaires douteux, et un Niels Arestrup immense en avocat costaud en apparence qui va devoir exposer ses blessures personnelles. Le Parisien
Dans « Villa Caprice », Bernard Stora met en scène des personnages peu recommandables et signe film noir atypique qui donne l’occasion à l’immense Niels Arestrup, alias Luc Germon, d’incarner un nouveau rôle majeur. Marianne
Une facture un peu à l'ancienne mais une atmosphère originale, du suspense, de très belles images de la Côte d'Azur et, surtout, un très beau duo d'acteurs. Ouest France
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